
Catherine Aubier : «La principale qualité de l’astrologue est le sens de la synthèse. »
3/1/2025



Le contenu de mon article
La première vocation de Catherine Aubier est astronomique. Enfant à la santé fragile, elle est envoyée à 13 ans passer plusieurs mois chez sa grand-mère dans la campagne charentaise, sans pouvoir aller à l’école à cause des risques de contagion. Elle lit pour passer le temps jusqu’à découvrir dans le grenier un atlas céleste qui la fascine. Équipée d’une lampe de poche et de cet atlas, elle se rend dès lors tous les soirs en haut de la petite colline située derrière la maison pour repérer les constellations, les étoiles, les planètes et leurs mouvements.
Sa grand-mère, de surcroît, s’intéresse à l’astrologie. Elle est abonnée à des fascicules mensuels qui donnent des prévisions pour chaque signe. Catherine trouve l’univers astrologique tout aussi fascinant que l’astronomie. Elle apprend à calculer, non sans mal, les ascendants de toutes les personnes de sa famille.
L’astrologie l’appelle encore quelques années plus tard alors qu’elle fait ses études au Conservatoire de Bordeaux. Le maire de la ville déteste la musique classique et l’opéra. Il offre donc sa loge personnelle à la nièce de son meilleur ami, qui est l’oncle de Catherine Aubier. Une véritable aubaine dont elle fait profiter tous ses partenaires du Conservatoire ! Un soir se joue un opéra de Massenet nommé « Hérodiade » au cours duquel un astrologue royal s’adresse aux planètes pour leur demander de l’éclairer. En entendant ce chant, c’est pour elle une évidence : « c’est ça que je veux faire ! »
Cette prise de conscience bute encore toutefois sur ses difficultés en mathématiques mais aussi sur l’influence familiale. Plutôt douée en dessin et en musique, Catherine semble programmée pour la voie artistique, très prisée par sa famille. Elle fait quelques années de Beaux Arts et de Conservatoire mais sans passion. Son désir laissé en suspens ne l’empêche cependant pas de lire beaucoup de choses sur l’astrologie … Parallèlement à un travail de bibliothécaire, puis de responsable d’enquêtes de marketing pour une entreprise américaine !
Le destin bifurque au moment où elle se marie (premier cycle de Saturne : 29 ans). Sa profession du moment nécessitant des voyages permanents, elle arrête de travailler… Et s’ennuie assez rapidement. À ce moment-là, une de ses amies, qui fait des illustrations pour des magazines, doit réaliser celles de l’horoscope de « Votre beauté », un titre qui existe encore. Après avoir rencontré l’astrologue qui écrit cette horoscope, elle conseille à Catherine d’aller la voir afin de choisir une voie. Les réponses qui lui sont apportées changent sa vie. L’astrologue lui conseille d’approfondir son étude de l’astrologie et la lui enseigne pendant deux ans à raison d’un cours par semaine.
Les nombreuses associations astrologiques de l’époque lui permettent de rencontrer beaucoup d’autres astrologues, en particulier André Barbault ou Jean-Pierre Nicola. Elle commence aussi à donner elle-même des cours dans divers groupes, ce qu’elle fera pendant des années (au GERASH, à l’Espace Bleu, à AGAPE …). Elle devient Présidente de la Fédération Francophone d’Astrologie dans les années 1980. Elle fonde également, avec Bernard Besançon qu’elle a rencontré au sein des cours qu’elle donnait, une école d’astrologie par correspondance permettant à des non-parisiens de se former. L’école en question, Maison 9 (la maison des études et des connaissances supérieures) fête aujourd’hui ses 35 ans, et Catherine et Bernard continuent à corriger les devoirs de leurs élèves.
L’autre passion principale de Catherine, en plus des cours, est l’écriture. C’est André Barbault qui lui proposera d’écrire un ouvrage au sein d’une collection sur les signes du Zodiaque demandée par un éditeur italien alors qu’il est déjà engagé chez un autre éditeur. L’astrologue pèse de son poids pour qu’elle puisse écrire sur son propre signe, le scorpion. Une fois qu’elle prend conscience de ses capacités d’écriture, les propositions s’enchaînent, d’abord des livres « grand public » puis des ouvrages plus exigeants parmi lesquels Devenir astrologue en 20 leçons (Solar, 1994), Le dictionnaire pratique d’astrologie (Solar, 1996), des livres qui ont pu être traduits à l’étranger. Ses derniers livres parus sont Ma Bible de l’Astrologie (Leduc S., 2021) et Ma Bible des arts divinatoires (Leduc S., 2023), « Cours pratique d’astrologie prévisionnelle » (Grancher) et un ouvrage sur l’astrologie et la lithothérapie.
Catherine Aubier a pour spécialité la comparaison de thèmes, aussi appelée synastrie, ce qui a donné notamment Le livre des affinités astrales (Solar, 1999), un domaine qui tient là aussi à des circonstances particulières. Elles remontent à la rencontre, dans les années 1977-1978, d’un jeune homme venu la consulter car il souhaite créer un club de rencontres. Un véritable courant de sympathie s’installe, confirmé rapidement par de bonnes configurations planétaires . Il lui fait aussi rencontrer son associée , puis ils proposent finalement à Catherine de travailler dans leur entreprise « Euroclub ». C’est le début d’une très longue collaboration, et pour Catherine, l’occasion d’expérimenter et d’affiner sa pratique.
Dans le cadre de cette seconde partie d’entretien, Catherine Aubier détaille les qualités de l’astrologue, souligne les écueils de la « saturnite aiguë » ou encore de la focalisation sur les points fictifs (lune noire, nœuds lunaires etc.) et explique en quoi d’autres disciplines ou certaines capacités peuvent compléter la pratique astrologique.
Chiron - Quelles sont les principales qualités d’un astrologue, vous qui en avez formé plus d’un ?
Catherine Aubier – La qualité la plus essentielle est le sens de la synthèse, mais il doit aussi s’appuyer sur le sens du détail ! Ensuite : la mémoire, et la curiosité. Chaque fois que l’astrologue trouve quelque chose, a une petite interprétation, il doit la comparer avec le reste du thème. Ce qui est assez ingrat au début devient automatique avec l’expérience et les grandes tendances - celles qui vont dans le même sens ou celles qui sont en tension- sautent aux yeux. Un astrologue expérimenté verra très vite la contradiction par exemple chez une personne qui a Saturne dominant et par ailleurs une majorité de planètes dans des signes comme les Gémeaux ou le Sagittaire qui sont éminemment sociables et mobiles. Il lui faudra se poser des questions sur la façon dont le porteur du thème peut le vivre et l’exprimer au mieux.
L’astrologue doit avoir aussi un réel « sens psychologique ». Cela inclut les capacités à cerner des personnalités mais aussi à savoir échanger avec le consultant pour trier le bon grain de l’ivraie parmi les interprétations possibles. J’ai d’ailleurs suivi des cours de psychologie (et de morphopsychologie) et j’ai fait une psychanalyse moi-même. Il y a, enfin, l’intuition, la subtilité du raisonnement ou l’expérience, autant de mots pour exprimer quelque chose de difficilement saisissable qui vous fait arriver à une conclusion juste.
Je dirai enfin que, comme pour tout, le bon astrologue est celui qui travaille et qui est passionné. Les plus doués au départ ne sont pas forcément les meilleurs à l’arrivée. Je l’ai amplement constaté au sein de mon école.
« Avec le temps, on se rend compte qu’il y a pas de bons aspects et de mauvais aspects. Ils peuvent se manifester à la fois en bien et en mal. »
Vous évoquiez le grand déterminisme que l’on pouvait trouver dans des ouvrages d’astrologie dans la première partie de l’entretien. Tout un tas d’éléments en astrologie sont des sources de peurs irraisonnées chez beaucoup de personnes qui s’intéressent à l’astrologie. Parmi eux, les transits de Saturne, Pluton en dominante planétaire, les planètes en exil ou en chute, la lune noire, les carrés, les oppositions ... N’y-a-t-il là que du négatif ou, comme dans toute symbolique, y trouve-t-on une ambivalence ?
J’ai Pluton en dominante planétaire et je peux vous assurer qu’on y survit !
J’ai aussi connu beaucoup de gens, surtout quand j’étais débutante, qui travaillaient selon la grille de lecture des « bénéfiques », le grand Jupiter et le petit Vénus, et des « maléfiques », le grand Saturne et le petit Mars. Tout transit ou position planétaire étaient ainsi résumés, sans prendre en compte les aspects dans leur ensemble.
Si Saturne forme de très mauvais aspects par rapport à une planète rapide, cela peut effectivement avoir des effets bloquants sur la planète rapide en question, mais n’allons pas non plus y chercher systématiquement des horreurs. J’ai été atteinte de la « saturnite aiguë » moi aussi ! Quand j’ai rencontré Françoise Hardy, nous avions toutes les deux 24 ans et on s’était mises à parler d’astrologie. Elle m’avait regardé avec un air effondré en me disant qu’elle avait une opposition Vénus-Saturne. Et moi de lui répondre « ah, ma pauvre ... » !
Avec le temps, on se rend compte qu’il y a pas de bons aspects et de mauvais aspects. Ils peuvent se manifester à la fois en bien et en mal. Il est donc important d’être très nuancé à ce sujet. Les carrés ou les oppositions peuvent pousser à évoluer en positif. On se rend plus facilement compte qu’il est temps de changer des choses quand on a un caillou dans la chaussure. Au contraire, certaines personnes qui ont de magnifiques aspects de Jupiter peuvent être imbuvables et odieuses, totalement rétives à évoluer.
Concernant les transits, les meilleurs aspects en théorie sont les conjonctions de Jupiter, par exemple à Vénus, au Milieu du Ciel ou au Soleil. Or, j’ai souvent eu en consultation des personnes avec ce transit qui ont connu, certes, des succès retentissants mais aussi … des échecs retentissants ! Jupiter, dont on oublie qu’il ôte la raison à ceux qu’il veut perdre, met en valeur aussi bien le négatif que le positif.
Quelle place attribuez-vous aux points fictifs comme la lune noire et les nœuds lunaire ?
Comme j’ai fait de l’astronomie, je suis donc peut-être un peu de parti-pris … mais je n’ai jamais rien trouvé de vraiment éclairant dans les points fictifs, surtout concernant les nœuds lunaires. Quand je vois tous les détails que les astrologues spécialisés tirent de leur position, cela me laisse perplexe. J’ai lu et vu des choses intéressantes par contre concernant la lune noire. Je pense que la question des points fictifs en général est surtout celle de la nature de l’interprétation. Quand ils sont appréhendés avec mesure et prudence, et non pas quand on base toute l’interprétation sur eux, il y a des choses intéressantes, mais on peut faire sans . Je les envisage davantage comme un « plus ».
Quelle place, maintenant, accordez-vous aux astéroïdes ?
Les scientifiques ont relégué Pluton au rang de planète naine, cela ne nous empêche pas de nous en servir ! Il y a des astéroïdes qui sont des corps célestes importants comme Cérès, comme Chiron, comme Éris. Ils gravitent de la même façon que les planètes. Pourquoi ne pas tenir compte également des satellites de Saturne, comme Titan qui est énorme. Il y a tout un tas de recherches à faire autour de cela, or aujourd’hui chacun sort sa recherche, son interprétation- ce qui a été commencé pour Chiron et Cérès- mais leurs « fans » ont souvent des interprétations assez variables. Si Chiron est bien le « guérisseur », alors prenons des centaines de thèmes de médecins, et regardons leur Chiron. Je parlais récemment avec l’astrologue Laurence de la Chapelle que j’apprécie beaucoup. Elle me disait qu’elle s’était beaucoup intéressée aux points fictifs et aux astéroïdes et qu’elle en avait oublié de regarder le soleil ! Cherchons donc, interprétons, et ne nous focalisons pas sur les points fictifs et les astéroïdes.
Comment l’astrologie, telle que vous la pratiquez, peut-elle aider dans l’orientation des enfants ?
Le sujet de l’orientation de l’enfant est aussi le sujet de l’orientation des parents. Je ne dissocie pas les deux et donc je regarde le thème de l’un et des autres.
Je m’appuie pour l’orientation de l’enfant sur l’astrogénéalogie, croisée à l’analyse transactionnelle qui est une méthode d’analyse psychologique. Un de ses points forts est le dégagement « des scénarios de vie ». Nous arrivons tous au monde avec un scénario de vie et le thème astral en est une image parfaite. Comment se construit un scénario ? Avec les parents ou ceux qui tiennent ce rôle. Les parents ont une tendance à répéter toujours la même chose et cela influence l’enfant. Il se fabrique en écoutant ce qu’on appelle les injonctions parentales. Si un père vous répète pendant toute votre enfance que vous êtes génial, il vous fabrique un scénario de gagnant, et inversement.
Il y a aussi des parents qui vont se projeter sur l’enfant. Si tout le monde dans la famille a été médecin, par exemple, l’enfant est projeté comme médecin. C’est le cas emblématique de la famille Kennedy pour la politique! Or, il est toujours très difficile pour un enfant ou un adolescent d’échapper aux choix imposés ou proposés par les parents car, à moins d’un drame, il a plutôt envie de leur faire plaisir. D’autres parents vont aussi vouloir que leurs enfants fassent ce qu’ils n’ont pas pu faire.
Par contre, la plupart des parents sont de bonne volonté. Un parent qui veut essayer de comprendre la source d’un problème de communication avec son enfant ou ce qui lui correspondra davantage aura des réponses par l’astrologie. Un capricorne saturnien comprendra pourquoi il n’est pas sur la même longueur d’onde que son fils gémeaux et qu’il ne sert à rien de vouloir en faire un capricorne!
En plus de cette approche, je regarde les dominantes et la répartition des planètes en premier lieu dans le thème de l’enfant. S’il a beaucoup de planètes en dessous de la ligne d’horizon, il n’aura pas forcément envie de faire un métier où il sera en lumière, « dans le spot » comme disent les gens du spectacle. S’il a une majorité de planètes à l’Est il sera davantage en recherche d’indépendance. On a déjà de quoi faire un gros tri, puis on précise, on affine avec l’interprétation générale du thème. On ne peut pas se contenter de regarder les maisons du professionnel, la maison 6 pour le travail au quotidien, et la maison 10 pour le travail en tant que vocation. Là encore, le souci du détail n’exclue pas de prendre en compte les caractéristiques globales qui ressortent du thème !
« Les astrologues ont toujours tendance à être méfiants avec les voyants car l’astrologie a été énormément confondue avec une voyance de comptoir. »
Vous avez évoqué l’intuition précédemment comme qualité de l’astrologue en précisant qu’il était difficile de savoir s’il s’agissait d’intuition, d’expérience ou d’autre chose encore. Une astrologue, également médium, dans un reportage avait déclaré : « en astrologie, on ne sait pas quoi », car il y a de nombreuses significations possibles même si elle donne un spectre de possibilités, et « en médiumnité on ne sait pas quand ». Elle voyait donc une grande complémentarité entre les deux. Qu’en pensez-vous ?
Un psychiatre et un astrophysicien avaient écrit un livre qui s’appelait Peut-on penser l’Astrologie : science ou voyance (Le Pommier, 2000). J’avais eu l’occasion de les rencontrer au cours d’une émission de télévision. Leur postulat était que l’astrologie n’avait pas de véritables fondements scientifiques mais qu’on pouvait s’en servir inconsciemment comme d’un support à la voyance. Je leur avais répondu que, si j’étais voyante, c’était à l’insu de mon plein gré comme on disait à l’époque !
J’ai rencontré des voyants véritables. Une m’avait d’ailleurs dit que j’écrirais une Bible, ce qui était assez surprenant … Quelques temps plus tard, on me proposait d’écrire La Bible de l’astrologie ! Quand les voyants voient quelque chose, cela leur vient. Une voix leur parle, une image leur apparaît. Je ne sais pas si on peut avoir ce type de messages à partir du thème astral. Par contre, il y a quelque chose qui peut être complémentaire entre la voyance et l’astrologie. En voyance, on peut très difficilement dater. Le voyant peut voir des fleurs de printemps ou un mois de calendrier tout au plus. L’astrologie, elle, est précise sur le temps.
En revanche il ne faut pas confondre un voyant avec un médium. Le médium, le vrai, n’a pas besoin de support. il est un intermédiaire (médium : le milieu) entre les vivants et ceux qui ont disparu. Il dit au consultant ce que lui transmettent les disparus.
Il est important de noter que les astrologues ont toujours tendance à être méfiants avec les voyants car l’astrologie a été énormément confondue avec une voyance de comptoir. J’ai reçu encore récemment un message d’une représentante de société me proposant de paraître sur la liste des 9 meilleurs astrologues de France. Dans la liste qui m’a été présentée, il n’y avait que des médiums !
Quelles autres disciplines peuvent être de précieux compléments à l’astrologie ?
La numérologie et l’astrologie peuvent bien fonctionner ensemble. Elles ont des buts assez proches, sauf que la numérologie est beaucoup plus axée sur la prévision, sur une prévision qui se fait quasi au jour le jour. La graphologie, à laquelle je me suis également intéressée, est très utile également. Quand vous montez un thème « à l’aveugle », c’est-à-dire sans rien connaître de la personne, ni son âge, ni ce qu’elle a réglé comme problèmes ou pas, l’écriture montre où la personne en est, si elle est dans une période de confiance ou d’échange par exemple.
Les livres conseillés par Catherine Aubier
J’avoue sincèrement être peu « au fait » de la littérature astrologique actuelle, particulièrement abondante ! Et plutôt que de me référer à un titre, je me réfère à l’auteur. Par ailleurs, il faut se méfier des « manuels » rédigés par des inconnus.. Quand j’ai commencé l’astrologie, j’en ai lu pas mal (c’est tentant !) qui listent des interprétations. On ne peut pas apprendre correctement l’astrologie comme cela, d’autant plus que souvent, en fonction des auteurs, les manuels se contredisent, et le lecteur ne sait plus à quel saint, ou quelle planète se vouer ! Si l’on veut vraiment apprendre, il faut prendre des cours, avoir un « référent » à qui poser des questions. Les cours peuvent être en présentiel ou à distance, particuliers ou collectifs, cela dépend des possibilités et de la situation de chacun. Mais il faut choisir un professeur avec lequel on se sent « en phase ». Et je conseille toujours aux élèves d’adhérer à une association (FDAF, CEDRA…)
Mes auteurs préférés sont mes contemporains : Barbault, Nicola, Rudhyar, Arroyo, Liz Greene… On peut tous les lire sans crainte. J’ai en revanche tendance à me méfier des couvertures tapageuses et des « Vu à la Télé » !
J’en ai bien sûr aussi écrit beaucoup, avec une optique très claire : raconter sans ennuyer, sans être dogmatique tout en restant rigoureux. C’est de cette façon que j’ai rédigé la « Bible » pendant le confinement dû au Covid. Neuf mois intenses pour accoucher de ce pavé de 470 pages… j’en suis encore surprise !
Merci d’avoir lu la seconde partie de l'entretien de Catherine Aubier. Si vous relevez des fautes d’orthographe, des coquilles, n’hésitez pas à me le signaler. Ces entretiens sont accessibles gratuitement, vous pouvez les partager à votre guise.

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